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Le navire chinois qui s'était porté jeudi, avec succès, au secours des passagers du navire russe piégé dans la banquise est à son tour prisonnier des glaces

Les nouvelles du Svalbard, janvier 2014

Toutes les tentatives du «Xue Long» (dragon des neiges) pour manœuvrer ont échoué. La situation à bord n'est pas du tout préoccupante a fait savoir l'équipage : aucune avarie ne s'est déclarée et les vivres sont en quantité suffisante. Pourtant équipé pour se frayer un passage dans les glaces, le «Xue Long» est bloqué depuis vendredi par un iceberg à la dérive, long d'un kilomètre. Les glaces flottantes et la position constamment changeante de l'iceberg, qui s'approche parfois jusqu'à 2,2 km du navire, rendent toute opération de dégagement très complexe. Face à cette impasse, les autorités australiennes, chinoises et russes ont demandé l'aide des États-Unis, qui ont dépêché le «Polar Star». Le brise-glace de 120 mètres de long peut fendre 1,8 mètre de glace à trois nœuds de vitesse (environ 5 km/h) et jusqu'à six mètres de banquise selon la manœuvre dite d'«éperonnage». Parti dimanche de Sydney, il devrait arriver dans le secteur le 12 janvier. Sa mission devrait durer de deux à trois jours. Comme la vingtaine de marins à bord du «MV Akademik Shokalsky», le navire russe bloqué depuis le 24 décembre par la banquise et pour lequel le «Xue Long» s'est dérouté et a fourni son hélicoptère pour évacuer les passagers, les 111 marins du bâtiment chinois restent sur leur navire en attendant qu'il puisse se libérer des glaces. Contrairement aux passagers civils du «MV Akademik Shokalsky» qui reproduisaient l'expédition historique menée dans l'Antarctique il y a un siècle par l'explorateur australien sir Douglas Mawson, les deux équipages sont entraînés et habitués à l'environnement extrême de la banquise.

Traduction et adaptation : Bastien



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