Le lait de l'otarie à fourrure, un indicateur de la pollution en Antarctique
Les nouvelles du Svalbard, Février 2014On considère toujours l'Antarctique comme le dernier espace sauvage pratiquement intact. De par son éloignement de toute civilisation, son isolement et surtout sa zone de convergence qui l'entoure, cette région semble relativement dénuée de toute pollution. Pour diverses raisons il n'y a pas eu de recherches dans cette direction. Un océanographe de l'Université de Rhode Island URI (USA), étudie actuellement le lait de l'otarie à fourrure des Kerguelen pour déterminer la présence possible de produits toxiques, qui s'accumulent chez ces animaux et peuvent être transmis aux jeunes.
Otarie à fourrure
Source : PolarNews 27/01/2014
Traduction / adaptation : Bastien